Imaginés par LES INDïGOTINES, talentueusement réalisés par les artisanes à l’atelier, entièrement faits main, les BERRIE prônent une production éco-responsable !
Chaque collier est issu des chutes de tissu des plaids, couvre-lits à jeter sur un canapé, couvertures baby. Une nouvelle vie est donnée aux matériaux utilisés qui prennent la forme de ces sautoirs.
Pas question de jeter, d’autant que dans les pays émergents et à fortiori dans le village où nous produisons, la gestion des déchets est encore très, très, très loin d’être organisée. Le recyclage, on n’en parle même pas.
Soit les ordures sont partout, dans la rue, les champs, les rivières dans lesquelles les femmes lavent le linge, les enfants se baignent, les hommes se lavent; les vaches des rues mangent les sacs en plastique. Soit, on les brûle dans le jardin.
Au fond, dans le jardin de l’atelier, derrières les singes (pour de vrai !), l’endroit où on brûle tout – sauf les chutes des tissus
Ne généralisons pas, les rues sont balayées. Les femmes, savamment courbées en deux pour se protéger le dos, ont ainsi un emploi. Le bruit matinal des balais végétaux faits manuellement est un son délicieux. On en trouve aussi faits avec des graminées. Organiques et astucieux.
Comme les BERRIE. En coton. Minutieusement assemblés à la main. Pour qu’ELLES ici soient encore plus belles. ELLES là-bas ne portent que de l’or, dès les premiers mois on perce les oreilles des petites filles et c’est toute la famille qui offre les boucles d’oreille. Question de tradition.
En plus, les BERRIE by LES INDïGOTINES assurent une activité rémunératrice aux villageoises qui améliorent ainsi l’économie familiale.
Elles s’appellent RENUKA, VARALAXMI, JYOTHI, KANAKAMA, SUJATHA, SHOBBA, GIRIJA, SHARADA, RESHMA, SHANDRAMATHI. ELLES là-bas. Pour qu’ELLES ici soient belles.